Dans l'univers de Star Citizen, le système Baker est un des rares systèmes connus à deux étoiles : Baker A et Baker B. Le spectacle est grandiose et pourrait attirer de nombreux colons, malheureusement aucune planète n'est potentiellement habitable dans ce système. La planète Baker II est située dans la "zone verte" mais, au vu de son atmosphère inhospitalière, la terraformation n'a jamais pu être considérée.
Le principal avantage du système Baker est d'être le seul système de l'UEE à être connecté par des jump-points de grande taille vers les système Xi'an, dans lesquels peuvent passer les gros-porteurs comme les Hull D et les Hull E. Le système Baker est donc situé sur les principales lignes commerciales entre l'UEE et l'empire alien.
AVERTISSEMENT DE VOYAGE : En l'absence de monde habitable, le système Baker est peu surveillé par la Navy. Tous les visiteurs sont donc priés d'être particulièrement prudents lorsqu'ils voyagent dans ce système.
A propos,
Le système Baker a été accidentellement découvert en 2522 par un voyageur du système Kiel. Il a rapidement été oublié des consciences collectives puisqu'il n'offrait pas beaucoup d'opportunités. Hormis des expéditions scientifiques, peu de pilotes s'aventuraient dans le système.
Après la signature du pacte de la ligne de Perry en 2793, les deux systèmes voisins, Hadur et Pallas, ont changé de propriétaire et appartiennent depuis ce jour aux Xi'an. Le système Baker est alors devenu le point de passage nécessaire pour rentrer en territoire alien. Profitant de cette nouvelle réorganisation, Covalex Shipping, compagnie de transport de fret, a lancé de nombreuses lignes de commerce en transit dans ce système. L'entreprise prit également l'initiative de construire une station spatiale massive en orbite autour des deux étoiles pour renforcer sa puissance commerciale. Le système Baker hébergea alors pour la première fois des colons.
Avec ce nouveau regain de popularité, trois des quatre planètes du système, Baker I, II et III, eurent un succès inattendu. Des courses illégales nommées "Able Baker Challenge" ont été organisées. Les pilotes en manque d'adrénaline profitent de l’environnement hostile de ces planètes pour démontrer leur habilité. Que ce soient les cristaux de glace de Baker III, qui perturbent les systèmes de navigation et la visibilité, ou encore une course en rase motte au dessus de l'atmosphère toxique et corrosive de Baker II, tout est fait pour créer des conditions dangereuses pimentant le spectacle. Les armes sont même parfois autorisées lors de ces compétitions, ce qui peut sembler paradoxal car tuer un adversaire est tout de même très mal vu. Ayant une réglementation à l'opposé des courses traditionnelles comme la Murray's Cup, ce challenge souffre d'un taux de mortalité non négligeable en particulier parmi les amateurs.
Dans un autre domaine sportif, il est à noter que le système possède également sa propre équipe de Sataball, les "Baker Hustlers" (épellation à confirmer, CIG n'en parle qu'à l'oral).
Géographie
Baker I
Baker I est une planète à noyau dense, située à proximité des deux étoiles du système. Son orbite est instable et les scientifiques prédisent que l'astre sera absorbé par Baker A d'ici quelques centaines de millions d'années.
Baker II
Bien que située dans la "zone verte", Baker II est une planète non naturellement habitable et dont la terraformation est impossible. Son atmosphère est couverte d'une épaisse fumée jaune-verte dont la composition est extrêmement toxique. En outre, cette brume est tellement corrosive qu'elle attaque même la coque des vaisseaux. Récemment, la planète a fait la Une des journaux lorsque des pilotes suspects ont voulu éviter les autorités en rentrant dans l'atmosphère de cette planète et leur Freelancer a alors malheureusement fondu sous leurs pieds.
Baker III
Baker III est une planète géante de glace. Sa surface est couverte d'une couleur blanche entrecoupée de veines bleutées. Sans aucune explication rationnelle, sa circonférence augmente avec le temps. On fait déjà état aujourd'hui d'un rayon supérieur à celui observé lors de sa découverte, il y a seulement 400 ans, ce qui est très peu à l'échelle astronomique.
Satellite artificiel, Xenia
Xenia est une station commerciale de l'entreprise "Covalex Shipping" mise en place pour assister les lignes commerciales vers l’empire Xi'an. Elle offre la possibilité de stocker des marchandises à des tarifs bon marché. Elle est également équipée de quais d'appontage pour les plus grands vaisseaux de fret, ce qui réduit considérablement le coût logistique pour les charger et décharger, opérations normalement réalisées par de plus petits vaisseaux de transport. Ces larges quantités de marchandises qui s'accumulent dans la station sont ensuite dispersées dans les systèmes alentours par des entreprises privées de fret grâce à la mise en place de contrats.
Cette station est idéale pour toutes les nouvelles recrues du monde des affaires commerciales. Avec ses nombreux contrats, les aspirants peuvent faire leurs premiers pas de marchands interstellaires.
Le bar "Torchlight express" est un lieu convivial de détente pour tous les pilotes de fret du secteur.
Baker IV
Baker IV une planète sans atmosphère qui possède de riches gisements de minerais. L'entreprise Shubin Interstellar est actuellement l'heureuse propriétaire de ce potentiel minier. Le principal avant-poste industriel, nommé GIO, est en libre accès, cependant les commodités sont spartiates.
En 2945, GIO a hébergé la compétition "2945 Shubin Rescue Challenge". Les mineurs sont mis à l'épreuve sur des thématiques de sauvetage en zone à hauts-risques. Cela permet de renforcer les capacités d'intervention des équipes de terrain et également à l'entreprise de montrer le potentiel de leur personnel.
Jump Points
Potentiel du Système
Avant-propos : Les études de potentiel ci-dessous ont été réalisées en faisant des suppositions sur le gameplay des différents métiers. Elles sont donc propres à Millenium et ne reflètent pas forcément la réflexion de CIG. L’analyse a été faite en pondérant l’influence de chacun des items présents dans le système (spécificité des planètes, astéroïdes, géante gazeuse, site emblématique, etc…) et sa position dans la galaxie. Le niveau d’appréciation de chaque potentiel est jugé par rapport à la moyenne et l’écart type des résultats de l’ensemble des systèmes. Par conséquent, les résultats sont relatifs entre tous les systèmes et non absolus.