Photo : VRL Révolution
Cette année, Riot Games a décidé de mettre un petit coup d'accélérateur sur la scène compétitive Valorant. En plus du circuit principal du VCT où l'on retrouvera les très gros poissons (Team Liquid, Gambit, Fnatic...), ont été créées des ligues régionales européennes (VRL) implantées géographiquement. La France aura donc sa propre compétition avec la VRL : Révolution. C'est une très bonne nouvelle pour les structures et les joueurs francophones qui auront un espace dédié pour se révéler et se montrer.
La ligue française sera composée de 8 équipes et on découvre petit à petit les visages qui animeront le premier segment. Sans grande surprise, l'équipe de ZeratoR (Mandatory) qui a été annoncée hier, participera aux festivités.
Mandatory, la troisième équipe invitée
Parmi les 8 participants, les organisateurs vont inviter 6 structures. En plus de Mandatory, ils ont convié à la fête OG et Sector One (structure belge). Si sur les réseaux certains ont manifesté leur mécontentement en dénonçant un "traitement de faveur", étant donné que l'équipe vient à peine d'être créée, il faut cependant prendre un peu de recul. D'une part, Mandatory possède un gros roster avec des joueurs passés par des équipes reconnues de la scène (Team BDS, Entropiq, NIP...). D'autre part, les notoriétés de Zerator (fondateur) et de Jbzz (joueur) sont des arguments de choix qui permettront à la ligue de gagner en exposition et en popularité. Le calcul semble légitime, surtout quand on voit les succès de la Karmine Corp, de Solary ou encore des JL sur les réseaux via leur équipe League of Legends.
Pour les plus grincheux, ne vous inquiétez pas. 3 autres tickets d'invitation sont encore à attribuer et il y aura également 2 places à gagner via des Open Qualifiers.
ZeratoR ne fait plus des trucs mais beaucoup de trucs ! Celui qui est sûrement le streameur le plus influent de la communauté française a décidé de se lancer un tout nouveau défi : monter une équipe compétitive. Il a présenté avec le tag Mandatory sa line-up Valorant.
