Le dernier opus de la saga des The Legends of Zelda, Tears of the Kingdom est un véritable succès et bien que Nintendo puisse se venter d'un très gros volume de vente, de très nombreux joueurs ont mis la main sur le jeu de façon illégale.
Une méthode que nos amis japonais n'apprécient pas vraiment. En effet, il est bien connu que Nintendo part très souvent à la chasse aux sorcières quand il s'agit de ses licences et que trouver, et punir les leakers est une habitude pour eux.
Cette fois, alors que le jeu est disponible depuis maintenant quelques semaines, les joueurs ayant téléchargé le jeu illégalement pourraient se sentir à l'abri, pourtant, c'est tout l'inverse !
Nintendo pourchasse les gens ayant téléchargé Tears of the Kingdom illégalement
C'est sur Reddit que l'un des pirates de Tears of the Kingdom a partagé un message qui en a fait frémir plus d'un : Nintendo sait exactement qui a téléchargé son jeu illégalement. Pour une partie des joueurs en tout cas.
Le joueur a en effet reçu un courrier de la part de son fournisseur internet, expliquant que celui-ci avait été grillé en train de télécharger le nouveau Zelda sur un Torrent. Le message contient des informations quant aux droits de Nintendo à intervenir pour ce cas de DMCA mais aussi la marche à suivre à partir de maintenant pour le pirate.
Ce message n'a pas été envoyé directement par Nintendo, mais bien par le fournisseur d'accès internet du joueur, qui a lui-même été contacté par l'entreprise japonaise. Vraisemblablement pour plusieurs clients.
Le fait que la notification ait été envoyée par le fournisseur montre que, pour le moment, Nintendo ne compte pas lancer de poursuites légales contre les joueurs ayant piraté le jeu, mais invite ceux-ci à supprimer les fichiers dans les plus brefs délais.
Pour le moment, il n'est pas encore sûr que cette chasse s'étende à l'Europe ou si elle a déjà commencé, personne n'est à l'abri du côté des pirates.
Rien ne garanti non plus que Nintendo va s'arrêter là, des actions légales pourraient en effet arriver plus tard, après tout, Nintendo a maintenant les noms de très nombreux hackers.