Vous avez quelques lacunes en anglais ? Le jeux de cartes est un style méconnu pour vous ? Votre stratégie est sans arrêt écrasée par l’ennemi ? Alors restez par ici, ce guide vous est destiné.
Ce que vous devez savoir avant toute chose, c’est que le jeu est actuellement indisponible dans la langue de molière. Aucune traduction produite par les fans n’a été trouvée. Ce guide a pour but de mieux vous guider et de vous apprendre les bases du jeu. Il faut savoir que Scrolls un jeu qui demande mûre réflexion pour espérer gagner, et qu’une partie peut demander trente à quarante minutes.
Commençons… par le commencement
Une fois votre compte créé et les identifiants entrés correctement lors de l’introduction du jeu, Scrolls vous demandera de choisir entre trois types de decks :
La grande majorité des unités utilisent le pouvoir de la nature pour détruire leurs ennemis. Plantes, bêtes sanguinaires et durabilité des structures empêcheront le joueur adverse d’avoir le temps de s’organiser et de riposter correctement. Le point faible de la nature, c’est le deck de l’ordre.
L’ordre est un deck rempli d’unités militaires telles que des lanciers, sabreurs, arbalestriers et généraux de guerre. Si vous manipulez bien la hiérarchie de vos troupes, elle peuvent alors devenir invincibles. Le point faible de l’ordre, c’est le deck de l’énergie.
L’energie vous sera utile si vous aimez attaquer à distance. Ce deck vous offrira tout ce qui est canon, catapulte et mortier. L’énergie a surtout des cartes qui demandent beaucoup de sacrifices, mais une fois les bonnes cartes en main, la puissance de vos attaques deviendra considérable. Le point faible de l’énergie, c’est le deck de la nature.
Une fois l’un des trois decks choisi, le menu général du jeu vous apparaîtra. Rien de bien compliqué à ce niveau-là. Réglez vos paramètres de jeu et choisissez votre avatar dans la section profil. Vous pourrez modifier votre deck en rajoutant ou en enlevant des cartes. Toutefois, votre deck ne pourra contenir qu’un minimum de 50 cartes, allez en-dessous et celui-ci sera noté comme « Illégal » et donc inutilisable en jeu.
Le mieux est d’avoir entre 50 et 60 cartes, mais il n’est pas nécessaire d’en avoir plus que ça sinon votre deck sera « trop gros » et donc plus facile à détruire. Car vous devez savoir que la chance joue pendant vos parties étant donné que les cartes de votre deck sont piochées aléatoirement en cours de jeu. Avant de commencer un match, dirigez-vous vers le tutoriel du jeu qui vous apprendra les bases fondamentales de Scrolls.
Les bases du jeu
Quand vous lancez le tutoriel, un petit bonhomme bizarre vous expliquera les bases du jeu. Pour mieux comprendre ce qu’il blablate, voici quelques petites explications qui reprendront ses dires. Au début, vous aurez accès au plateau de jeu. Chaque joueur a 15 cases pour positionner ses unités, mais attention, il va falloir les mettre correctement et intelligemment. Le but du jeu est simple : détruire au moins 3 totems adverses. Comme vous pouvez le constater, vous n’avez que deux cartes pour commencer, deux loups.
En début de partie, vous n’avez aucune ressource. Or ces ressources seront nécessaires afin de positionner les cartes. Pour commencer, c’est simple, vous cliquez sur l’un des deux loups et vous grillez la carte afin d’avoir une ressource qui sera stockée en bas à gauche de votre écran. Cette ressource se rechargera à chaque tour et plus vous en aurez plus vous pourrez positionner de cartes pendant le tour. Au-dessus de la carte du loup vous pouvez voir qu’il est inscrit « 1″ avec le symbole du deck auquel celle-ci appartient. Ce numéro indique le nombre de ressource(s) que vous devrez avoir en stock pour pouvoir positionner la carte sur le plateau.
En-dessous de l’image du loup il y a trois numéros. De gauche à droite, on démarre par l’attaque (ici 1), en passant par le « countdown » qui définit le nombre de tours à attendre avant que la carte n’attaque (ici 2), pour enfin terminer par ses points de vie (ici 2). En-dessous de ces trois numéros, il y a un petit descriptif que vous devrez lire impérativement. Ici est noté haste*, traduit littéralement par hâte, ce qui permettra à la créature d’attaquer au moment où la carte sera positionnée, ce qui n’est pas le cas pour tous les monstres du jeu.
C’est un bonus lié à cette carte que vous retrouverez sur certaines autres cartes. Il existe d’autres bonus tels que relentless qui permet à la créature de continuer sa route vers le totem tant qu’il tue en une seule attaque les opposants se trouvant sur son passage, ou encore des bonus directes d’armure et/ou d’attaque, etc. Le tout est de bien lire chaque carte de son propre deck avant de se lancer dans des matchs classés ou des combats contre l’ordinateur en mode moyen. Toutes les informations vous seront utiles afin d’établir la meilleure stratégie possible et remporter la victoire.
Les types de cartes
Dans le tutoriel du jeu, vous commencez par le loup qui est une simple carte de type « Créature ». Son but ? Attaquer pour détruire le/les totem(s) adverse(s). Mais il y a d’autres types de cartes, et ce sont celles-là qui changeront considérablement le cours de vos parties. Il y a d’abord les structures, plus communément appelées « Cartes pour gagner du temps ». Ces cartes ont beaucoup de points de vie et ont pour but de ralentir la progression des créatures ennemies. Très utiles contre les decks qui ont beaucoup de créatures pour peu de ressources. Certaines structures ont le pouvoir d’attaquer, mais quoi qu’il arrive une structure est immobile et une fois posée elle ne peut plus être changée de place.
Nous avons ensuite les enchantements qui servent soit à améliorer une créature, soit à tuer une créature adverse. Certains enchantements sont des bonus qui permettent par exemple à votre créature d’attaquer deux fois au lieu d’une, tandis que d’autres sont des malus qui une fois placés, augmentent le countdown de votre créature de 2 ou diminue ses points de vie. L’enchantement positionné sur la carte se trouve en petit à gauche de la carte (voir image ci-dessous).
Pour terminer, il y a les sorts/sortilèges qui permettent d’avoir un effet direct en cours de partie, mais qui ne s’utilisent qu’une seule fois. Par exemple, spark est un sortilège qui enlève directement 2 points de vie à la créature adverse de votre choix, ou tick bomb qui détruit une structure ennemie en un seul coup. L’enchantement est un sort qui vise un monstre en particulier, souvent sur le long terme, le spell, lui, affecte sur le court terme.
Conclusion
Surtout, ne foncez pas tête baissée pendant un combat, examinez attentivement vos cartes pendant la partie pour déterminer les meilleures combinaisons possibles. Regardez attentivement la position des cartes adverses. Par exemple si une catapulte est posée, regardez bien son rayon d’attaque dans votre camp pour éviter de placer bêtement un monstre dans sa ligne de mire.
Placez intelligemment vos structures pour empêcher l’ennemi de toucher à vos totems et ayez toujours sur vous au moins 7 ressources pour positionner assez de cartes par tour. Ne dépassez jamais les 60 cartes dans votre deck, et ayez-en toujours un minimum de 50. Dans le « store » (Magasin du jeu), achetez toujours « les scrolls packs » et non carte par carte, car dans les scrolls packs vous aurez toujours une carte rare et de différents types, ce qui permettra de les échanger ou de les vendre.
Quelques traductions qui vous seront utiles :
Pour les personnes ayant des soucis au niveau de la langue anglaise, voici quelques traductions qui vous permettront de mieux jouer :
- Countdown : le nombre de tours à attendre avant que la carte ne fasse effet.
- Decreased : diminution/diminue.
- Ranged attack : attaque à distance.
- Target unit : cible une unité.
- Dealt damage : subit un/des dommage(s).
- Relentless : l’unité continue d’attaquer sur la même ligne tant que l’ensemble des points d’attaque ne sont pas dépensé.
- Disregards : ignorer.
- Haste : la créature attaque dès qu’elle est positionnée.
- Spiky : la créature qui vous attaque au corps-à-corps prend des dégâts à la hauteur du spiky
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