Programmé pour le 4 juillet 2025, Jurassic World : Renaissance devrait logiquement commencer à relancer sa machine à trailers dans les jours qui viennent. Mais rien que sur les premières bande-annonce, les spectateurs avaient déjà eu du grain à moudre, notamment avec l'apparition d'un énorme T-Rex mutant, doté d'un front proéminant. Avec cette créature nouvellement ajoutée à son bestiaire, la franchise semblait se diriger encore davantage vers l'archétype du "film de monstre". Et cela s'est confirmé récemment avec les déclarations du réalisateur, Gareth Edwards.
Le T-Rex façon expérience ratée
Le carnivore mutant qu'on a vu partiellement dans le trailer avait bien raison de captiver les fans. Ce sera apparemment lui le gros méchant à abattre dans Jurassic World : Renaissance, et il a d'ailleurs fait une entrée remarquée dans le lexique officiel de la franchise. Gareth Edwards, le réalisateur du prochain opus, a officialisé le nom de "Distortus Rex", qu'on pourra volontiers assortir au diminutif « D-Rex ».
Tout cela sonne bien, mais cette consécration est aussi lourde de conséquences pour la franchise. En effet, Jurassic Park exploitait jusqu'à présent des dinosaures ayant vraiment existé, ou alors des hybridations simples qui restaient très ancrées dans le lexique des dinosaures, comme c'est le cas de l'Indominus Rex. Le "Distortus Rex" franchit un autre cap dans le domaine des mutations, avec ses six membres et sa démarche quadrupède.
D'autres mutations sont attendues
Pour créer du "toujours plus féroce", Jurassic Park s'apprête donc à embrasser pleinement la thématique des mutations. Et ce prochain opus contiendra d'ailleurs un nombre record d'espèces mutantes. En plus des Titanosaures herbivores qui ne correspondent déjà pas au canon des films originaux, et du fraichement nommé Distortus Rex, on y trouvera d'après le scénariste David Koepp des "Mutadons ailés", à mi-chemin entre le ptérosaure et le raptor.
Plus que jamais un "film de monstre"
Alors qu'elle était auparavant dans une case à part, la licence Jurassic Park tend vers l'archétype du film de monstre, empreint de surnaturel. Les protagonistes se frottent à des "créatures" au sens littéral, plutôt qu'à des dinosaures ayant réellement existé. Loin de rejeter cette idée, Gareth Edwards admet même qu'il a voulu faire paraitre la souffrance chez le Distortus Rex, qui a par conséquent tout ce qu'il faut pour devenir le "Frankenstein" des dinos.




