Biographie
Jeune ado introverti, je me passionne pour les univers médiévaux et l’heroic fantasy. Magic The Gathering, Donjons et Dragons, Warhammer, Le seigneur des Anneaux, Warcraft... Tant de mondes où j’adorais m’égarer. Mon plus gros choc vidéoludique a lieu sur les bancs de la fac, quand on me fait découvrir League of Legends. La complexité tactique du jeu m’obsède. Je deviens vite Diamant, et monte par-ci par-là quelques équipes compétitives”, en portant souvent la casquette de capitaine et de coach. Mon amour pour les jeux vidéo m’attrape pour de bon lorsque j’ai 22
ans, quand au lieu de chercher un job dans la comm’ ou le journalisme, je deviens freelance en rédaction vidéoludique. Métier que j’exerce depuis lors, avec un plaisir non dissimulé. Au boulot, je me spécialise très tôt sur les jeux mobile de tous horizons ainsi que sur Fortnite. Peu importe leurs supports, les jeux services me passionnent. Parce qu’ils évoluent constamment et demandent aux joueurs de changer fréquemment leurs techniques pour
l’emporter à haut niveau.
Désormais papa de deux bambins pleins d’énergie, j’ai raccroché provisoirement le clavier et la souris de pro gamer. J’en profite pour élargir mon spectre d’affinités et de connaissances avec d’autres licences, d’autres genres de jeux. Impossible toutefois d’abandonner ne serait-ce que pour un temps les sensations compétitives vidéoludiques ! Je cultive toujours grâce à Hearthstone (les CCG sont les seuls jeux sur lesquels vous pouvez
challenger le haut niveau d’une seule main, en berçant un petit sur un bras) un certain sens du PVP compétitif.
Expertise
Grand fan de jeux de rôles et d’heroic fantasy, mes premiers coups de foudre vidéoludiques ont été World of Warcraft, Guild Wars ou encore le très méconnu Runes of Magic. En parallèle de cela, j’ai beaucoup tâtonné les RTS, comme Starcraft, Age of Empires II et bien sûr Warcraft III.
A la fac, des amis me font essayer League of Legends. Je n’en attends pas grand chose, mais la dimension compétitive du MOBA m’obsède très rapidement. Je squatte le D1 / Master pendant maintes saisons, avec quelques LANs et expériences véritablement compétitives au passage.
Je découvre assez tardivement Hearthstone, et j’en tombe éperdument amoureux. Le CCG me rappelle mes années Magic The Gathering, avec davantage de créativité et de tours spectaculaires.
En faisant du jeu vidéo mon métier, j’ai par la suite embrassé plusieurs jeux et licence. En vrac, Fortnite, Clash Royale, Brawl Stars, Summoners War, Marvel Snap... Tous ces jeux profondément évolutifs sont devenus des passions.
Questionnaire
Un jeu : League of Legends. Une claque absolue pour quiconque aime faire valoir son skill, et possède l’esprit de compétition. En team ou même avec des amis, chaque partie se transforme en un shot d'adrénaline pure. Et n’écoutez pas les gens : il suffit de “mute all” et de se concentrer sur ses propres performances pour que le spectre de la toxicité omniprésente s’évapore définitivement.
Une licence : Warcraft. Souvent qualifié de “cartoonesque”, cet univers titanesque abrite pourtant tout ce qu’il faut pour absorber les fans d’heroic fantasy. A chaque nouvelle extension de WoW, je replonge...
Un personnage culte : Arthas. Le gentil qui devient méchant est un stéréotype bien connu, mais pour moi, sa métamorphose est bien plus aboutie que celle de Dark Vador, par exemple. Blizzard a superbement narré tout ça à grand coup de cinématiques et de cutscenes cultes.
Une scène mémorable : La cérémonie d’ouverture des Worlds de LoL en 2019, sans une seconde d’hésitation. La scénographie, l’entrée des joueurs sous le chant de Chrissy Costanza, tout ça à Paris. Encore aujourd’hui je suis incapable d’en regarder le replay sans verser une larme.
Un jeu qui tire la larme : It Takes Two. Impossible de rester de marbre en jouant à ce jeu avec l’aimée de mon cœur. Parfois, les histoires les plus simples sont les plus émouvantes.
Un jeu qui fait peur : On va dire Outlast, mais pas la peine de me questionner dessus hein. J’ai seulement regardé des streamers y jouer, et j’en ai pas dormi de la nuit.
Un jeu que je déteste : Disney Pixel RPG. J’en ai vu des gatchas douteux, mais alors celui-ci il est hors normes. J’essaie de lui trouver des qualités mais c’est compliqué. C’est laid (en même temps ça c’est dans le titre !), la monétisation y est prédatrice à souhait et le gameplay est vraiment ennuyeux.
Un jeu qui a pris tout mon temps : League of Legends. Ça se compte en milliers d’heures, mais je ne regrette aucune d’elles. Le format des games de LoL, couplé au désir de grimper dans le ladder, fait que le temps s’évapore littéralement au fil des session.
Un jeu inavouable : Clash Royale, le genre de jeu mobile que je qualifie de “jeu toilette". L’expression est purement méliorative : c’est juste que ce jeu est juste PARFAIT quand on est aux WC avec seulement son téléphone pour passer le temps.
Une bande son de jeu : Age of Empires II. Je laisse parler ma nostalgie ici. La bande son de ce jeu est en réalité très rudimentaire, mais elle est en même temps très exaltante, parfois limite stressante. Elle a aussi de profonds échos moyen-âgeux.
Une console : La Game Boy Color. Ma première console, avec son inévitable cartouche Pokémon. L’écran n’était même pas rétro-éclairé... Une révolution dans ma vie de gosse, même si j’ai dû perdre trois dioptries à cause d’elle.