Dying Light : The Beast est enfin disponible dans le monde entier ! La production, qui était attendue de pied ferme par les fans, met en scène un protagoniste unique : Kyle Crane, possédant un ADN mi-humain, mi-zombie, et luttant pour contrôler la bête en lui. Un gameplay exceptionnel, un univers entre humanité et infecté qui donne une perspective unique à l'histoire. Voici là où The Beast fait mieux que le jeu original !
Bien plus d'environnements à explorer !
Ce que les joueurs de Dying Light : The Beast ont immédiatement remarqué, c'est que la nouvelle carte offre un véritable changement de rythme. Au lieu de vouloir proposer des environnements toujours plus vastes, les développeurs ont cette fois choisi de se concentrer sur la cohérence, et de perfectionner une carte qui est ainsi plus qu'immersive.
Inspiré par les magnifiques paysages des Alpes suisses, la nouvelle carte de The Beast offre des lieux distincts, et passionnants. Entre ville touristique, zones industrielles, parc national, ferme, et bien plus encore, le jeu plonge ses utilisateurs dans un monde certes plus petit que celui de Dying Light 2, mais non moins passionnant !
Des dommages plus réalistes !
Autre point fort du jeu, le fait que sa violence devient bien plus réaliste ! The Beast est brutal, parfois gore, mais incroyablement immersif. Alors que les opus précédents proposaient déjà des dégâts liés à l'emplacement, Dying Light: The Beast pousse la mécanique encore plus loin : cette fois, les adversaires peuvent être touchés à 12 points différents !
Si les réactions réalistes des ennemis et le sang ajoutent une touche cinématographique agréable, ce n'est pas seulement pour le spectacle, car elles permettent d'introduire des techniques de combat inédites. The Beast est plus bestial (comme son nom l'indique), plus cru et en combat, ça se ressent.
Kyle Crane, tout simplement
Le protagoniste de The Beast est sans aucun doute l'élément le plus innovant du jeu. Mi-humain, mi-zombie, il possède un gameplay exceptionnel, une histoire unique et les joueurs découvrent ainsi un tout nouveau point de vue sur l'univers de Dying Light.
En effet, les nouveaux pouvoirs de Crane, semblables à ceux des Rapaces, lui permettent de déchiqueter ses ennemis à mains nues, entrant dans un état de rage temporaire qui lui donne la capacité de se battre à coups de poing même contre un adversaire imposant ! En plus de cela, il est bien plus habile, y compris pour ce qui est du parkour...
Un parkour plus fluide !
Le parkour est un élément central des jeux Dying Light ! The Beast offre un nouvel équilibre entre des mécanismes de parkour réalistes. La barre d'endurance, par exemple, ne se vide désormais que lors des combats, pour que les joueurs, hors affrontement, puissent explorer comme ils le souhaitent.
Combiné à moins de flottement et à des points d'escalade plus évidents qu'auparavant, The Beast offre une approche plus terre-à-terre qui encourage une escalade prudente et une prise de décision rapide pour survivre et se déplacer dans des endroits difficiles d'accès. Le parkour est ainsi plus immersif, et moins punitif que dans les précédents titres.
Plus de variété dans les ennemis !
Comparé aux horribles infectés du passé, Dying Light: The Beast intègre plusieurs nouveautés à sa liste de monstres. Les classiques de la franchise sont bien sûr au rendez-vous, mais de redoutables nouveaux venus viennent ajouter une dose bienvenue de difficulté à l'aventure !
Face à certains des ennemis les plus mortels à ce jour, The Beast propose de nouveaux Rapaces gargantuesques capables de survivre pendant la journée, ou capables de devenir invisibles pour se faufiler, et des infectés bondissants dotés de griffes massives. En bref, tant de nouvelles menaces qui rendent cette aventure si galvanisante.
- Selon vous, quels sont les points forts de Dying Light : The Beast ?







