C'est en 2001 que le monde entier découvrait pour la première fois Harry Potter dans les salles obscures, avec ainsi, Harry Potter à l'École des Sorciers. Et comme nous le disions, nous sommes des millions à avoir grandi en même temps que notre trio, et aujourd'hui certains éprouvent encore de l'affection pour la licence.
Toutefois, voici que l'une des actrices de la saga, à savoir Miriam Margolyes (Pomona Chourave) a déclaré que les adultes fans d'Harry Potter devraient passer à autre chose.
Cette actrice de la saga Harry Potter tacle les fans adultes
C'est en effet à travers une interview accordée à 1News que l'actrice de Doctor Who est revenue sur le succès d'Harry Potter. Si aujourd'hui elle est une actrice accomplie, on ne peut pas nier que son rôle du Professeur Chourave n'y est pas pour quelque chose, mais lorsqu'on lui parle de ce dernier et de l'impact de la franchise dans le monde, elle n'hésite pas à dire ce qu'elle pense.
Si de prime abord ses propos peuvent paraître assez rudes envers les fans de la saga, elle affirme tout de même que l'univers d'Harry Potter est quelque chose de merveilleux et qu'elle est naturellement très reconnaissante d'avoir pu faire partie de cette aventure.
Cet acteur d'Harry Potter a gardé ce secret jusqu'à sa mort
À travers Harry Potter, nous avons appris à détester mais aussi surtout à aimer le Professeur Rogue, interprété par le talentueux et regretté Alan Rickman. Si ce n'est qu'à la fin de la saga que nous avons toutes et tous découvert son secret, à savoir, qu'il protégeait avant tout Harry durant toutes ses années parce qu'il vouait un amour éternel à sa mère, Lily, afin d'interpréter ce rôle avec brio, J. K. Rowling avait livré un secret à l'acteur...
En effet, comme nous le savons, ce n'est qu'à la fin que nous apprenons la vérité, mais pour que la scène de la pensine soit encore plus poignante, l'auteure de la saga avait donné la signification du mot « Always » que ce dernier prononce à travers le septième livre lorsqu'il parle de Lily avec le Professeur Dumbledore.




