Avec le nouvel opus de Resident Evil, Requiem, Capcom choisit de mettre l’accent sur la tension, l’exploration et le sentiment de vulnérabilité. Loin des héros surentraînés qui ont marqué les précédents épisodes, le studio propose une vision plus intime et oppressante du danger.
Une nouvelle approche du combat et du survival horror
Capcom a choisi une voie audacieuse pour Resident Evil Requiem. Alors que de nombreux fans s’attendaient à revoir Leon Kennedy, figure emblématique de la franchise, en personnage principal, le studio a décidé de mettre en avant un nouveau personnage : Grace Ashcroft. Cette protagoniste incarne un retour aux racines du survival horror, où la vulnérabilité joue un rôle central. Loin d’un héros déjà aguerri, Grace commence son périple en proie à la peur, mais gagne en force et en assurance au fil des épreuves.
Le directeur du jeu, Koshi Nakanishi, a expliqué lors du Tokyo Game Show 2025 que cette philosophie se refléterait dans les combats de boss. Ces affrontements seront moins des spectacles de puissance que des moments de tension et de réflexion.
L’évolution de Grace Ashcroft au cœur de l’expérience Requiem
L’introduction d’une nouvelle héroïne est plus qu’un simple changement de visage : elle symbolise la volonté de Capcom de renouveler l’approche narrative et ludique de la série. Grace est pensée comme un personnage dans lequel les nouveaux joueurs peuvent facilement se projeter. Sa peur initiale et sa fragilité apparente permettent d’accentuer l’effet.
Requiem n’oubliera cependant pas la variété d’outils de combat. Si les armes à feu restent au centre de l’arsenal, les joueurs auront également accès à des armes de mêlée. Ces options ouvrent la voie à des stratégies plus variées et à des affrontements potentiellement plus flippants, à la manière de Silent Hill f.







