Team Liquid effectue un changement dans son roster, en remerciant Nicholas « nitr0 » Cannella, arrivé dans le foyer en 2015. C'est Michael « Grim » Wince, jeune espoir issu de la scène secondaire, qui a été choisi pour prendre sa place.
Des automates, entretenus par des clubs sous la coupe de parcs d’attractions aux allures d’organisateurs de tournois. Voilà à quoi devraient bientôt ressembler - si rien n’est fait - les joueurs de CS, de plus en plus touchés par des troubles psychologiques liés au travail.
L'édition 2020 de l'ESL One Cologne a vu son organisation bouleversée par la pandémie du Covid-19. Elle aura cependant tout de même lieu en ligne, avec un format inédit : plusieurs régions, pour plusieurs vainqueurs. Tous ses prétendants sont désormais connus.
L’ESL One Cologne attend de pied ferme le retour aux affaires des principaux artistes de la scène Counter-Strike. Seule ombre au tableau : le tournoi sera joué en ligne, Coronavirus oblige. Les festivités seront ainsi réparties par région, ne rassemblant donc pas les cadors mondiaux entre eux.
Le PSG, Manchester City ou encore le Real de Madrid, nombreux sont les clubs de foot à avoir développé une section esport. De son côté, River Plate, club mythique d'Amérique du Sud, monte son projet d'esportifs sur Counter-Strike.
Le circuit compétitif de CS:GO demande beaucoup d'effort à ses acteurs, et la crise sanitaire mondiale du Coronavirus n'y a rien changé. Les joueurs vont cependant pouvoir prendre un mois pour souffler, puisque la période de Player Break débute cette semaine.
Les fidèles du karma pourront en vouloir au Community Manager du club. Malgré une map d’avance au lancement de la grande finale, Vitality s’est incliné dans la dernière ligne droite du summit_6, face à BIG, le nouvel Eder du CS français.
La Chambre des Lords s'est penchée sur le cas des lootboxes, omniprésentes dans des jeux comme CS:GO. Payantes, pour obtenir un contenu cosmétique virtuel aléatoire, l'assemblée a demandé à ce que ces boîtes soient considérées comme des jeux d'argent.
Peut-il y avoir une meilleure victoire que celle qui t’accorde une place à un Major, qui t’envoie en finale d’un tournoi très important, et qui t’octroie très certainement une future place de numéro un mondial au classement HLTV ? Nous, on croit que la question elle est vite répondue.
Pandémie oblige, l'édition 2020 de l'ESL One Cologne - qui devait avoir lieu en juillet - s'est vue repoussée d'un mois. C'est donc pendant que les aoûtiens investiront les plages que plusieurs équipes de prestige, dont trois Françaises, viseront le titre et le million de dollars de dotation.
Le spectacle joué par OG et Vitality lors de leur représentation a été incroyable. Un peu longuet certes, on ne va pas se mentir, mais incroyable. Vitality l'emporte et file de plus en plus vers la grande finale.
Alex « ALEX » McMeekin n'a plus joué en compétition depuis février. Non pas à cause de la pandémie du Covid-19, mais plutôt pour prendre un peu de recul par rapport à la scène. Le joueur britannique, toujours sous contrat avec Vitality, pourrait cependant bientôt revenir... chez une autre équipe.
L’un est quasiment déjà assuré de participer au prochain Major de Counter-Strike, tandis que l’autre va se battre pour y décrocher une place. Et au milieu ? Au milieu se trouve un joueur qui aimerait bien prendre une revanche sur son ancienne équipe.
Quatre formations dont font partie des tricolores étaient alignées au coup d’envoi d’une compétition européenne qualificative pour le Major de fin d’année. Pour l’instant, trois sont toujours en course.
Malgré un parcours séduisant et de bonnes vibes distribuées à son peuple, la formation française n’est pas parvenue à décrocher le titre de champion des finales européennes du circuit BLAST Premier. Elle s’est inclinée face à l’alliance euro-américaine de Complexity.
Après tout, il est possible de sortir de trois finales consécutivement perdues, d’une défaite contre Vitality, de ne jamais gagner sur Dust II, de se séparer de son analyste, tout en s’installant pépèrement sur le toit du monde. Alors pourquoi G2 devrait s’embêter à gagner, hein ?
Pour la troisième fois de suite en 2020, G2 s’incline en finale d’un tournoi majeur de la scène Counter-Strike. Un point noir, tout de même enjolivé par un potentiel énorme qui ne demande qu’à se concrétiser.
Qui saura arrêter la troupe de kennyS ? Pour l’instant, pas grand monde. On aurait bien dit Astralis, mais ça ne risque pas d’arriver de sitôt. Alors, en attendant, laissons-nous kiffer un peu la réussite des Franco-Serbes.
Apparemment, Vitality semble plutôt bien digérer le Suédois. La structure française s’envole vers les finales européennes, rejoignant ainsi FaZe, Na’Vi, G2, Complexity, OG, ENCE, et le vainqueur du futur duel entre NiP et Mad Lions.
Élancée, la formation de Vitality a pris un excellent départ dans son sprint en playoffs face aux formations suédoises, pour le compte du Showdown européen du BLAST Premier. Après Dignitas et Fnatic, les Français devront désormais se débarrasser de Ninjas In Pyjamas.
L'actu
En Continu
Articles
recommandés
Guides
à découvrir
